Actions EDF: Risques et CNPE / Electricité de France (EDF)


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Les actions EDF ont perdu plus de la moitié de leur valeur entre 2008 et 2009. Elle pourrait tomber à zéro dans le cas d’un accident dans une des centrales nucléaires de l’EDF.

Les actionnaires EDF porteraient une part de responsabilité du moins morale pour cet accident.


EDF est une entreprise nucléaire
« EDF exploite 58 réacteurs nucléaires sur 20 sites, dont 34 d’une puissance de 900 MW, 20 d’une puissance de 1.300 MW et quatre de 1.450 MW. La puissance totale des centrales nucléaires d’EDF s’élève à 152.477 MW. » Source : wikipedia
Certaines centrales, dont celle de Fessenheim, sont vieilles et en mauvaise état.

L'Ökoinstitut (Institut écologique) de Darmstadt a estimé les conséquences
et l’étendue géographique d'une telle catastrophe, prenant comme base de réflexion un accident nucléaire survenant au CNPE EDF/EnBW de Fessenheim (Alsace). La simulation a été réalisée pour la centrale de Fessenheim, elle est cependant plus ou moins applicable à toutes les centrales nucléaires de France. « Avec un vent de sud-ouest fort et de la pluie, on serait en présence d’une bande sinistrée longue de 370 km, s’étendant de Fessenheim (Alsace) jusqu'à la région de Würzburg/Nürnberg. Si les directives de Tchernobyl devaient être appliquées, il faudrait alors évacuer la totalité de la population vivant dans cet espace, et ce durant une période de 50 ans ».


Actions EDF: Risques et CNPE
Conseils suite à un accident ou une attaque terroriste sur une centrale nucléaire d’EDF pour vous :
Prenez un compas et faites un cercle de 300 kilomètres de rayon autour de chaque centrale nucléaire EDF. Si vous habitez dans un de ces cercles et qu’un accident ou une attaque terroriste se produit, une catastrophe peu probable, mais qui peut intervenir à tout moment, ou qu’une partie de « l’inventaire » radioactif d’une centrale nucléaire fuit, vous devrez quittez votre pays d’origine rapidement et définitivement avec tout ce que vous avez bâti pendant des dizaines d’années. Et vous devrez vous estimez heureux d’avoir simplement survécu.

Accident nucléaire
A cause de la catastrophe à Tchernobyl plus de 500 000 gens ont du quitter leur habitation. Dans des régions où la densité de la population est bien plus élevée, comme en France et en Europe centrale, la catastrophe obligerait des millions de personnes à déménager. Et comme à Tchernobyl, toutes les villes et tous les villages, toutes les usines et toutes les entreprises, tous les emplois et toute l’infrastructure urbaine et sociale devraient être abandonnées. L’étude « Prognos » a calculé qu’une catastrophe nucléaire en Allemagne couterait entre 2500 et 5500 milliards d’euros pour les dommages causés, soit 10 à 20 fois le budget fédéral. Ces chiffres sont similaires pour la France. En Allemagne, si l’on devait évacuer une surface de 10 000 km², le dommage financier matériel causé s’élèverait à 500 milliards d’euro (pour un prix très bas de 50€/m²).

Vous pouvez imaginer ce qu’un tel accident aurait comme conséquences pour vous et vos actions EDF !



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Sujet actuel 2019:


Sécurité nucléaire 2019: le grand mensonge


(Fessenheim, Belleville, Blayais, Bugey, Chattenom, Chinon, Chooz, Civaux, Cruas, Dampierre, Flamanville, Gravelines, Saint Laurent, Paluel, Saint Alban, Nogent, Golfech, Penly, Tricastin...)

Classée secret défense, la sécurité nucléaire reste aujourd’hui la zone opaque d’une industrie exposée au risque terroriste. Captivante autant qu’alarmante, cette enquête internationale révèle d'énormes failles en la matière.
Alors que les accidents de Tchernobyl ou de Fukushima ont alerté sur la sûreté nucléaire, la sécurité des installations, classée secret défense, reste encore entourée d’un épais mystère. Pourtant, au-delà de la vulnérabilité des sites mise en lumière par les opérations de militants écologistes, l’enquête sur les attentats de Bruxelles de mars 2016 a révélé que le nucléaire belge constituait bien une cible potentielle pour des terroristes en quête d’armes de destruction massive. De l’attentat-suicide et la chute d’un avion de ligne sur un réacteur aux cyberattaques en passant par les drones, les actes de sabotage ou la fabrication artisanale de bombes sales – un mélange d’explosifs et de matières radioactives –, les menaces, reconnues par les experts, sont réelles. Dès lors, comment nos installations sont-elles protégées pour affronter ces risques multiples et comment la communauté internationale s’organise-t-elle pour sécuriser les matières et éviter les trafics ?

Glaçant


Des États-Unis à l'Allemagne en passant par la France et la Belgique, cette enquête révèle les failles abyssales des systèmes de protection de sites nucléaires, conçus pour la plupart avant les attaques du 11-Septembre. Interrogeant experts, politiques et activistes de Greenpeace, le film montre aussi comment l’industrie nucléaire, aujourd’hui souvent déficitaire et surendettée, peine à mettre en œuvre des mesures efficaces – et forcément coûteuses – face au risque terroriste. On découvre ainsi qu'aucune norme internationale n'est imposée aux États nucléarisés, notamment pour ce qui concerne la sécurisation des matières les plus dangereuses, malgré les tentatives de Barack Obama, initiateur du Sommet mondial sur la sécurité nucléaire... Le silence qui entoure cette menace au nom de la confidentialité face à un ennemi potentiel prive de surcroît la société civile du légitime débat sur sa sécurité, quand les décisions pour la garantir relèvent du politique. Une investigation glaçante sur l’un des secrets les mieux gardés au monde.